Le didgeridoo à La Cité de la Musique
Publié : lun. 01 août 2005, 15:26
Du mercredi 23 au dimanche 27 novembre 2005
A la Cité de la Musique de la Villette (Paris 19ème, Metro Porte de Pantin)
:idea: Le temps du rêve
Musique et danse de la Terre d'Arnhem (Australie)
lien
Pour les Aborigènes d’Australie, le didgeridoo raconte les légendes qui se transmettent oralement depuis des milliers d'années au cours des cérémonies rituelles. Cet instrument est le plus souvent fabriqué à partir d’un tronc d’eucalyptus déjà creusé par les termites.
Il est accompagné par des chanteurs et des danseurs et par quelques instruments de percussion. Le didgeridoo peut imiter les bruits des animaux ou le vol d'un boomerang. Les joueurs sont généralement des hommes.
:arrow: Mercredi 23 nov 2005 15h00
:arrow: Jeudi 24 nov 2005 10h00
:arrow: Jeudi 24 nov 2005 14h30
:arrow: Amphithéâtre - 8€
:idea: Musiques de pierre
Emmanuel Dilhac pierres, didgeridoo
lien
Dans la Rue musicale de la Cité de la musique, c’est un « parcours minéral, végétal, animal et musical » que propose Emmanuel Dilhac, archéologue des sonorités primitives. Posés au sol, parfois suspendus, pierres, os, peaux, coquillages, vers marins – ces derniers que l’on trouve sur les plages australiennes ou au fond des mers – évoquent la ligne et les sonorités australes du didgeridoo (d’après un mythe australien). Sur scène, en effet, Emmanuel Dilhac part à la rencontre des choses. Il semble apprendre ou réapprendre à les toucher, il a l’air de réinventer les gestes qui les apprivoisent pour les faire sonner.
:arrow: Samedi 26 nov 2005 15h00
:arrow: Dimanche 27 nov 2005 15h00
:arrow: rue musicale - 8€
:idea: Le didgeridoo
Instrument culte des Aborigènes
lien
Première partie :
Aborigènes (Terre d'Arhnem)
Chants et danses rituels des Aborigènes (Terre d'Arhnem)
Pour cette cérémonie aborigène de la Terre d’Arnhem, des motifs symbolisant l’héritage du clan sont peints sur le corps (ocre, blanc de terre et charbon ou jus d’orchidée sauvage). Parmi les objets allégoriques, à travers chants et danses, peuvent surgir des esprits-ancêtres, tels Barnumbirr (l’Étoile du matin), au milieu des sonorités des clapsticks, des boomerangs entrechoqués ou, bien sûr, du didgeridoo.
Darren Dululngura Wanambi danseur
Paul Gurrumurruwuy Wunungmurra ancien
Jamie Malkararr Wanambi danseur
Paul Nawanawayun Wunungmurra danseur
Douglas Djurradi Wunungmurra joueur de didgeridoo
Tom Murrnhaliny Wunungmurra danseur
Hamish Murubula Wanambi danseur
Joseph Wunungmurra danseur
Deuxième partie :
Alan Dargin et ses musiciens
Né et élevé dans une tribu aborigène de la Terre d’Arnhem, en Australie, Alan Dargin a commencé à pratiquer le didgeridoo à l’âge de cinq ans, avec son grand-père. Celui qu’il joue a une centaine d’années ; fait d’une branche d’eucalyptus évidée par les termites, il est décoré par des marques tribales liées à son usage cérémoniel. «Ce que j’ai fait avec le didgeridoo, explique-t-il, c’est de l’adapter à des idiomes modernes. » Sur l’album Reconciliation, cet instrument à l’histoire vieille de quarante mille ans croise la musique traditionnelle celte ; ailleurs, c’est le jazz qui est convoqué…
Alan Dargin didgeridoo
nn1
nn2
:arrow: Samedi 26 nov 2005 20h00
:arrow: Salle des concerts - 22€
:idea: Ensemble Umkulu
lien
Seb didgeridoo
Yo2 didgeridoo
Steph Mibel saxophone
Foé "Nkolo" Ayida batterie
Bertrand Foi basse
De par sa sonorité et sa facture, le didgeridoo est devenu, dans le monde occidental, l’emblème d’un univers primitif. Cette trompe en bois évidée par les termites acquiert un timbre aux connotations rituelles, tribales. On souffle dedans en faisant vibrer les lèvres, ce qui produit une note fondamentale entourée d’un riche halo d’harmoniques. La technique respiratoire est dite « circulaire » : on maintient une pression d’air constante en expirant par la bouche et en inspirant par le nez, les joues servant de réservoir.
Le didgeridoo est de plus en plus utilisé par de jeunes musiciens amateurs ainsi que par des professionnels du rock, de la techno, du jazz ou des musiques new age. L’ensemble Umkulu, depuis sa formation en 2001, a associé les murmures et grondements du didgeridoo aux couleurs du saxophone, croisant ainsi les résonances telluriques du monde aborigène avec des mélodies et des rythmes africains.
Pour réserver, cliquer sur l'icône 'RESA'
:arrow: Dimanche 27 nov 2005 16h30
:arrow: Amphithéâtre - 17€
A la Cité de la Musique de la Villette (Paris 19ème, Metro Porte de Pantin)
:idea: Le temps du rêve
Musique et danse de la Terre d'Arnhem (Australie)
lien
Pour les Aborigènes d’Australie, le didgeridoo raconte les légendes qui se transmettent oralement depuis des milliers d'années au cours des cérémonies rituelles. Cet instrument est le plus souvent fabriqué à partir d’un tronc d’eucalyptus déjà creusé par les termites.
Il est accompagné par des chanteurs et des danseurs et par quelques instruments de percussion. Le didgeridoo peut imiter les bruits des animaux ou le vol d'un boomerang. Les joueurs sont généralement des hommes.
:arrow: Mercredi 23 nov 2005 15h00
:arrow: Jeudi 24 nov 2005 10h00
:arrow: Jeudi 24 nov 2005 14h30
:arrow: Amphithéâtre - 8€
:idea: Musiques de pierre
Emmanuel Dilhac pierres, didgeridoo
lien
Dans la Rue musicale de la Cité de la musique, c’est un « parcours minéral, végétal, animal et musical » que propose Emmanuel Dilhac, archéologue des sonorités primitives. Posés au sol, parfois suspendus, pierres, os, peaux, coquillages, vers marins – ces derniers que l’on trouve sur les plages australiennes ou au fond des mers – évoquent la ligne et les sonorités australes du didgeridoo (d’après un mythe australien). Sur scène, en effet, Emmanuel Dilhac part à la rencontre des choses. Il semble apprendre ou réapprendre à les toucher, il a l’air de réinventer les gestes qui les apprivoisent pour les faire sonner.
:arrow: Samedi 26 nov 2005 15h00
:arrow: Dimanche 27 nov 2005 15h00
:arrow: rue musicale - 8€
:idea: Le didgeridoo
Instrument culte des Aborigènes
lien
Première partie :
Aborigènes (Terre d'Arhnem)
Chants et danses rituels des Aborigènes (Terre d'Arhnem)
Pour cette cérémonie aborigène de la Terre d’Arnhem, des motifs symbolisant l’héritage du clan sont peints sur le corps (ocre, blanc de terre et charbon ou jus d’orchidée sauvage). Parmi les objets allégoriques, à travers chants et danses, peuvent surgir des esprits-ancêtres, tels Barnumbirr (l’Étoile du matin), au milieu des sonorités des clapsticks, des boomerangs entrechoqués ou, bien sûr, du didgeridoo.
Darren Dululngura Wanambi danseur
Paul Gurrumurruwuy Wunungmurra ancien
Jamie Malkararr Wanambi danseur
Paul Nawanawayun Wunungmurra danseur
Douglas Djurradi Wunungmurra joueur de didgeridoo
Tom Murrnhaliny Wunungmurra danseur
Hamish Murubula Wanambi danseur
Joseph Wunungmurra danseur
Deuxième partie :
Alan Dargin et ses musiciens
Né et élevé dans une tribu aborigène de la Terre d’Arnhem, en Australie, Alan Dargin a commencé à pratiquer le didgeridoo à l’âge de cinq ans, avec son grand-père. Celui qu’il joue a une centaine d’années ; fait d’une branche d’eucalyptus évidée par les termites, il est décoré par des marques tribales liées à son usage cérémoniel. «Ce que j’ai fait avec le didgeridoo, explique-t-il, c’est de l’adapter à des idiomes modernes. » Sur l’album Reconciliation, cet instrument à l’histoire vieille de quarante mille ans croise la musique traditionnelle celte ; ailleurs, c’est le jazz qui est convoqué…
Alan Dargin didgeridoo
nn1
nn2
:arrow: Samedi 26 nov 2005 20h00
:arrow: Salle des concerts - 22€
:idea: Ensemble Umkulu
lien
Seb didgeridoo
Yo2 didgeridoo
Steph Mibel saxophone
Foé "Nkolo" Ayida batterie
Bertrand Foi basse
De par sa sonorité et sa facture, le didgeridoo est devenu, dans le monde occidental, l’emblème d’un univers primitif. Cette trompe en bois évidée par les termites acquiert un timbre aux connotations rituelles, tribales. On souffle dedans en faisant vibrer les lèvres, ce qui produit une note fondamentale entourée d’un riche halo d’harmoniques. La technique respiratoire est dite « circulaire » : on maintient une pression d’air constante en expirant par la bouche et en inspirant par le nez, les joues servant de réservoir.
Le didgeridoo est de plus en plus utilisé par de jeunes musiciens amateurs ainsi que par des professionnels du rock, de la techno, du jazz ou des musiques new age. L’ensemble Umkulu, depuis sa formation en 2001, a associé les murmures et grondements du didgeridoo aux couleurs du saxophone, croisant ainsi les résonances telluriques du monde aborigène avec des mélodies et des rythmes africains.
Pour réserver, cliquer sur l'icône 'RESA'
:arrow: Dimanche 27 nov 2005 16h30
:arrow: Amphithéâtre - 17€